J’ai rencontré JEANNE, il y a un an maintenant. Elle m’a tout de suite attiré, principalement parce qu’elle était extrêmement fine, sportive et très jolie. C’était une mordue du fitness, pas comme moi, mais cela allait changer…
En effet, après plusieurs rencontres délicieuses, JEANNE me fit comprendre que si je ne faisais pas, moi aussi, un effort pour être svelte, elle n’allait pas pouvoir continuer à me voir. Sa remarque me choqua, d’autant plus que je trouvais que nous allions très bien ensembles. Elle m’invita donc à venir, avec elle, suivre des cours de fitness, dans son club et que si je déclinais son offre, il valait mieux que nous ne nous revoyons plus. Je n’ai pas hésité longtemps.
La première fois, JEANNE me montra tout de son club et ce que je devais savoir. Et elle ne tarda pas à me faire monter sur un vélo et un tapis de course, mais elle insista bien sur le fait que, j’étais là pour devenir svelte et mince et pas pour devenir un bodybuilder. Elle insista lourdement sur le fait qu’elle détestait les hommes trop musclés et / ou ventripotents. Je fis la connaissance de son entraîneuse personnelle, NADINE, qui me concocta un entraînement aux petits oignons, mais aussi un régime hypocalorique, afin que je perde, rapidement, mon ventre.
En suivant, à la lettre, ce régime, je devais perdre, au moins, deux à trois kilogrammes par semaine. Je trouvais cela un peu rapide et surtout, je trouvais que j’étais plutôt pas mal et pas trop gros. Mais NADINE et JEANNE n’étaient pas de cet avis et elles insistèrent lourdement. JEANNE rajouta même, que c’était une condition sine quo non à la poursuite de notre relation. Elle le dit devant son amie et cela me vexa énormément. Mais j’étais plutôt mordu et je fis comme si je le prenais à la rigolade. C’était la première fois de mon existence que je tombais sur une femme aussi belle et séduisante. Elle aimait porter la culotte. J’étais un peu embêté, mais elle savait me faire oublier ces petites humiliations en me suçant, comme une déesse du sexe.
Elle me tenait par la queue !
La première semaine, je perdis, finalement, trois kilogrammes, en venant, chaque jour, m’entraîner avec JEANNE et, en suivant, à la lettre, le régime diététique de NADINE. En fait, j’avais horriblement faim, aussi je me réfugiais dans la pratique du sport, pour oublier. JEANNE me félicita de mes premiers résultats et me proposa, alors, de venir, en plus, courir avec elle et ses copines, chaque matin.
J’acceptais avec empressement.
Je me retrouvais donc le lundi suivant, sans avoir pu voir JEANNE du week-end, au club, pour mon premier footing. Toutes ses copines étaient là et j’étais le seul garçon. Elles portaient toutes le même ensemble de sport au couleur du club : un sweat-shirt rose avec capuche, un short de la même couleur, des collants opaques gris et des sur collants roses pales sur les mollets. Elles se ressemblaient toutes et toutes étaient plutôt bandantes, croyez-moi !
Les filles rigolèrent presque en me voyant arriver avec mon vieux sweater et mon short baggy. JEANNE était en colère et me fusilla du regard ! Mais trop tard ! Le groupe s’ébranla. Mais nous n’avions pas fait trois kilomètres que déjà je n’arrivais plus à suivre leur rythme. JEANNE fit comme si de rien n’était, mais son regard en disait long sur ce qu’elle pensa de moi à ce moment précis !
Rentrés au club, elle me prit violemment à parti et m’annonça sèchement qu’elle n’était pas disponible pour la soirée et que c’était inutile d’essayer de la joindre au téléphone.
A ce moment précis, je sus qu’elle était un peu dérangée de la cafetière. Elle ne m’adressa plus la parole. Je restais seul chez moi ce soir-là, mais je décidais de réagir positivement pour ne pas la perdre. Le lendemain, j’arrivai au club plus tôt que d’habitude. JEANNE, à ma grande surprise, était déjà sur place. Elle m’ignora. J’insistai. Elle finit par me dire qu’elle avait eu honte de moi hier, devant ses copines, à la fois de mon apparence, mais aussi de mon manque de souffle. Elle disait ne plus vouloir continuer avec moi, que nous étions trop différents l’un de l’autre finalement ! Je fus effondré. J’avais passé la nuit à prendre de bonnes résolutions et, patatras, au matin, la femme de ma vie, me laissait tomber… trop injuste !
Les larmes me vinrent aux yeux. Je fis mon possible pour ne pas pleurer devant elle. J’insistai pour qu’elle me laisse une autre chance, au moins une ! Je lui disais que j’étais justement venu plus tôt au club pour m’entraîner dur, pour elle, pour qu’elle n’ait plus jamais honte et que j’allais, dès cet après midi, en sortant du boulot, aller m’acheter une nouvelle tenue de jogging beaucoup plus classe.
JEANNE me regarda froidement dans les yeux. Une minute, au moins, se passa, sans qu’elle ou moi ne dise un seul mot puis, elle me lança :
Et elle me lança dans les jambes un sac de sport, rose comme le sien.
Et JEANNE tourna ses talons et s’éloigna de moi pour aller finir ses exercices d’assouplissements. J’en profitais pour faire un peu de vélo et, une fois échauffé, je retournais au vestiaire, juste le temps pour moi de me mettre en tenue avec ce que JEANNE m’avait ramené. Mais lorsque j’ouvris le sac, j’eus la surprise de ma vie. Dans le sac il y avait le même sweater que les filles portaient, avec le logo du club et la capuche, le même short et les mêmes collants gris. Je me dis que les collants ne devaient pas être pour moi et qu’elle les avait oubliés dans le sac qu’elle m’avait prêté. J’enfilais donc le sweater et le short avec mes vielles baskets et je rejoignis les filles sur le parking, juste devant le club.
Les filles approuvèrent en opinant du chef.
JEANNE m’attrapa par le bras et m’entraîna un peu à l’écart :
JEANNE retourna vers ses copines, sans un mot de plus. Je restais à l’écart. Je devais me décider vite. Ses copines attendaient pour aller courir. JEANNE était la plus belle fille avec laquelle je n’étais jamais sorti et elle faisait des pipes comme personne. Je pris la décision qui s’imposait :
Je courais vers les vestiaires. Pour mon malheur il y avait, maintenant, pas mal de mecs avec moi. Je n’allais, tout de même pas, mettre ces collants devant eux ? J’ouvris donc mon armoire. Le temps m’était compté. J’optais pour les WC. Je planquais la paire de collants sous mon sweater et je courus vers les chiottes. Là, j’enfilais les collants. La sensation fut immédiatement étrange : pour la première fois de ma vie, j’enfilais un vêtement de femme. Les collants étaient, de plus en nylon. Mes mains glissaient sur la matière. Une fois en place, je renfilais mon short, mais il était plus court que mon baggy et les collants ne pouvaient pas, ne pas être vus. J’avais honte ! Mais la montre n’arrêtait pas de trotter dans ma tête. Je passais la tête hors des toilettes. Ils étaient tous partis. Tant mieux !
Je me précipitais hors du club sans regarder autour de moi, pensant que si je ne les regardais pas, personne ne me verrait dans cette tenue. C’était évidement idiot, mais on se raccroche à ce qu’on peut dans ces moments-là !
J’arrivais enfin sur le parking, les filles étaient encore là. Ouf !
A ma grande surprise, aucune d’entre elles ne se moqua de moi, au contraire :
Etrangement ces paroles me rassurèrent.
Alors, on y va les filles, lança JEANNE.
Et le groupe s’ébranla.
JEANNE, au cours du jogging, se rapprocha de moi :
Ce soir, au lit ?
JEANNE allait, enfin, passer une nuit complète avec moi ?
J’en oubliais presque ma paire de collants sur les cuisses. La sensation, comme dit, était néanmoins étrange et totalement nouvelle pour moi. Je me rappelais des horribles collants, en laine, que j’avais mis, jadis, pour aller faire du ski, avant les vêtements en Goretex mais, ces collants étaient différents. C’étaient des collants de fille, en nylon, qui glissaient sur ma peau et y collaient littéralement, comme une seconde peau. J'aimais bien passer mes mains sur les jambes gainées de bas nylon des filles et, de celles de JEANNE, en particulier, car elles étaient magnifiques et douces enrobées de cette fine couche de nylon, mais là, c’était moi qui en portais et ça changeait tout !
Cependant, personne ne me parla de mes collants pendant toute la durée de la course et personne ne semblait se soucier plus que cela de la chose. Je l’oubliais donc aussi.
Cependant, de retour au club, je refis un tour par la case WC, afin de retirer ces fichus collants avant de rejoindre les vestiaires hommes, sans ces trucs de fille sur les jambes.
Et la nuit fut, effectivement, somptueuse. JEANNE ne travaillait pas et fut, tout à moi, la nuit entière. La meilleure nuit de ma vie. JEANNE me baisa toute la nuit comme une folle. Elle insista et prit toutes les initiatives. Je ne sus pas dire non, bien au contraire. Elle me chevaucha toute la nuit comme une amazone. Rarement une femme avait réussit, comme elle, à me tenir aussi longtemps en haleine. Souvent les filles préfèraient être passives, pas JEANNE. Ce fut nouveau pour moi et j’appréciais, énormément. Je pratiquais même mon premier cunnilingus avec une femme. Mais sa chatte était si belle et ses effluves si merveilleusement odorantes que je pris le plus grand plaisir à lui brouter la chatte qu’elle me présenta, au-dessus de ma bouche, mes bras coincés sous ses genoux. Je fis jouir JEANNE à plusieurs reprises, comme elle me fit jouir et ce n’est qu’au petit matin, que je pus, enfin, me reposer une heure ou deux, avant d’aller au boulot.
Le reste de la semaine fut aussi merveilleux ! Je perdis encore trois kilogrammes, ce qui enchanta JEANNE. Nous couchâmes ensembles encore trois fois et, à chaque fois, c’est toujours elle qui en prit l’initiative et qui me chevaucha. J’aimais tellement ça que je ne fis même pas attention au fait qu’elle me dominait au lit, aussi !
JEANNE me confia aussi qu’elle commençait à aimer mon corps, de plus en plus, qu’il devenait, enfin, ferme à souhait, comme elle les aimait et que si je continuais comme cela, elle allait devenir folle de moi !
J’étais aux anges !
Je devenais chaque jour plus amoureux, amoureux fou d’elle !
Les semaines passèrent, plus belles les unes que les autres et, un matin, JEANNE me dit de passer voir NADINE, sa meilleure copine, dans son magasin, juste avant notre footing matinal et avec ma tenue sur moi : elle avait une surprise pour moi ! Lorsque j’entrai dans son office, NADINE me détailla de haut en bas. J’étais rentré dans son magasin totalement heureux et détendu, mais elle me mit immédiatement mal à l’aise !
Je ne sus vraiment pas quoi lui répondre.
Et elle ricana.
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